Super Intégrale de la Madone !
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Super Intégrale de la Madone !
ça faisait 3 ans qu'on réfléchissait au Projet avec Olivier Vigouroux, un très bon copain et fort alpiniste qui a sillonné le Mercantour autant que moi si ce n'est plus.
Dans le même principe que la Super Intégrale de Peuterey qui consiste à gravir les voies les plus difficiles sur les sommets de l'arête de Peuterey, on s'était dit qu'on pourrait faire pareil à la Madone avec les 4 sommets qui composent l'intégrale de la Madone.
les 3 premiers sommets c'était assez évident, les voies difficiles seraient :
"le dièdres des parisiens" ou la "Raffaeli" au petit Cayre
"Pilpil" sans hésitation au Grand Cayre
"Vavavoum" ou "inhalassablement" au Barel
Mais le problème était pour le Ponset dont la voie difficile de référence était jusqu'alors la voie de Thibaut, la maintenant classique "Scandale" en face Nord. Sauf que depuis le sommet du Barel, rejoindre la face Nord du Ponset c'est tout sauf facile et évident... ça impose un détour monstrueux et ça casse trop la logique de l'enchainement...
Avec l'ouverture l'été dernier de "Le murmure des nuages" dans la face Ouest du Ponset, ça permet d'arriver directement au pied de la dernière voie depuis la descente du Barel !!
On décide donc de tenter le projet avec Séléna, profitant d'un créneau de beau temps
c'est encore une fois lourdement chargés, avec de l'eau pour 3 jours, que nous rejoignons le pied du petit cayre/ grand cayre pour y faire bivouac. On ne savait pas si c'était possible de le faire à la journée et nous avons préféré monter beaucoup d'eau pour deux jours au moins.
Le choix de notre enchainement se porte donc sur ces voies
- Dièdre des parisiens ED- au petit Cayre, une voie classique qui a représenté un défi de l'alpinisme dans les années 60 et répétée par un acteur clé du massif, Jean Gounant et ses amies biensûr
- Pilpil TD+/ ED- au grand cayre, une voie des années 90 de Pippolini et Garriou et dont l'équipement a été sécurisé par Pierrot Montiglio qui a su conserver le caractère de la voie en évitant qu'elle soit dangereuse
- Inhalassablement TD+ au Cayre Barel par Eric Pasdeloup. Une voie magnifique et très très très bien pensée et équipée. On voit l'implication et le souhait d'offrir un itinéraire de qualité avec un équipement parfait. un petit clin d'oeil à Denali donc pour cet enchainement =)
- Le murmure des nuages TD au Ponset, notre voie avec Séléna qui remonte l'énorme pilier ouest du Ponset à droite de l'arête en passant dans une ligne de faiblesse en dièdre. Pour terminer, cet itinéraire représente la génération moderne de grimpeurs du Mercantour qui retourne vers l'ouverture de voies dans une logique "terrain d'aventure" et en exploitant les lignes de faiblesses.
Depuis l'approche, on peut contempler ces belles montagnes...
On trouve un emplacement de Bivouac un peu sous le GR sur un gros bloc avec un bon plat, finalement c'est pas mal du tout !
Les friends remplacent les piquets ha ha
le lendemain c'est parti ! on attaque de nuit l'évident dièdre des parisiens. Le jour se lève quand nous atteignons le premier relais
Séléna dans la première longueur qui grimpe. L'équipement a été revue dans cette voie et permet une belle escalade en libre dans un esprit "Mercantour" c'est à dire quand même assez aéré sans pour autant être dangereux.
Le refuge se réveille et déjà les voitures affluent en ce samedi de beau temps. Les prétendants au Gélas sont déjà sur le chemin depuis longtemps pour les plus raisonnables.
ça grimpe toujours, le rocher est sublime.
Pour l'instant le ciel est bouché, offrant une ambiance plutôt austère pour un matin froid.
Après quelques verrous de doigts un peu douloureux le crux en 6b+/6c est avalé ! Vraiment très très beau !!
Séléna dans le crux, dur dur avec le sac...
Nous descendons rapidement par la voie normale du Petit Cayre en évitant le rappel ce qui nous fait gagner un temps précieux pour rejoindre la face ouest du grand cayre
j'attaque la délicate première longueur de Pilpil. Le rocher demande de l'attention et l'équipement est plutôt aéré... rien à voir ici avec l'équipement du dièdre des parisiens. Mais pourtant j'ai beaucoup aimé cette voie, autant par le côté recherche d'itinéraire un peu présent que l'escalade délicate qu'elle impose.
Premier 6b, le relais est exposé aux chutes de pierres et il faut être très prudent mais avec un peu de délicatesse il n'y a pas de raison de s'inquiéter ! éléphants s'abstenir tout de même...
Séléna attaque le deuxième 6b qu'on pourrait qualifier de "bloc/ équilibriste". Une longueur courte mais difficile, pieds en adhérence sur des plats et pincent fuyantes pour les mains. le caillou est par contre bien meilleur !
Quelques efforts et ça sort !
Puis encore une longueur en 6a+ qui grimpe !
La petite marche pour le relais qui va peut être finir en bas un jour ! pas d'inquiétude, le relais est bien spité et décalé par rapport à la longueur;
Une dernière longueur facile permet de rejoindre le sommet
Et voila ! 12h50 sommet du grand cayre, on se demande si c'est toujours possible de faire l'enchainement dans la journée, ces deux voies plutôt délicates nous ont pris du temps et il reste la descente du grand Cayre un peu longue... déjà près de 400m de grimpe au compteur
Séléna dans la descente astucieuse vers le couloir entre Barel et grand Cayre.
Le temps de rejoindre la face nord du Barel et de se préparer de nouveau, il est 14h50... je décide de monter au premier relais pour repérer au moins la première longueur si on envisage de la faire de nuit le lendemain... Mais c'est tellement beau et tellement déroulant que, après une courte hésitation, on décide de continuer !! aller encore 700m de grimpe ha ha
ici rien à voir avec les deux premiers sommets, l'escalade déroule, on peut faire un peu de corde tendue et les longueurs passent à grande vitesse ! le temps tout de même de saluer le Dalaï Lama qui nous redonne espoir =)
je porte le sac pour soulager Séléna qui a tout porté au petit et grand Cayre
Le ciel est maintenant bien dégagé et la journée est magnifique.
Notre fatigue disparait peu à peu comme par magie, animés par l'excitation de pouvoir faire l'enchainement dans la journée
Déjà la dernière longueur, 6b, rocher sublime et équipement parfait c'est tellement agréable ! je cours dans la longueur c'est merveilleux d'être ici !
Au sommet, il est 18h20. Il reste tout ça... mais on ne se décourage pas !
Le soleil commence à descendre
On remonte la moitié de la face à corde tendue dans les dalles et gradins faciles pour rejoindre le grand dièdre qui marque le début des difficultés
C'est partie pour la première longueur !
Je me suis rendu compte que les relais sont difficiles à trouver n'étant pas reliés par des sangles, il va falloir qu'on y retourner pour remédier à ça d'ici la fin de l'été...
puis le dièdre cheminée bien old school ! heureusement le surplomb en 6a+ est bien sec cette année et passe bien !
Et enfin la longueur clé avec la dalle technique... il était temps c'est bientôt la nuit...
Sublime couché de soleil sur notre cher massif...
plus qu'un petit surplomb et je suis au relais ! Séléna enchaînera aussi la longueur malgré le sac, bravo après toute cette distance !
Séléna rejoint le pied des deux dernières longueurs de l'arête Ouest dans le crépuscule...
les deux dernières longueurs sont bien équipées et je les connais par coeur, donc pas d'inquiétude malgré la nuit !
Au refuge de la Madone, ils verront nos frontales et hésiterons à appeler les secours (!) mais heureusement Patrick les rassure en voyant qu'on avance vite et qu'on est rapidement au sommet ! Ouf ça nous aurait pas trop fait rigoler de voir débarquer le gros bourdon pour rien !! merci Pat !
22h sommet soit 16h après l'attaque de la première longueur !!!
On souffle enfin et on contemple la plus belle nuit étoilée qu'on ait vu depuis ce magnifique sommet...
La descente, bien que longue, s'effectue sans encombre, dans le vallon jusqu'au chemin, on est tellement contents d'avoir réussi ce coup la qu'on oublie la fatigue et la soif maintenant bien présentes !
Mais malheureusement la journée ne s'arrête pas à la voiture... il faut remonter au bivouac qu'on a laissé la haut après avoir manger un bout et poser le matos... on arrivera dans la tente à 2h du mat soit une journée de 21h...
Le lendemain, on est des gros gros zombies. il nous faudra 2h pour ranger le bivouac et ramper jusqu'à la Madone où on prend un délicieux repas très copieux en compagnie d'un couple de personnes âgées trop sympa. Ce genre de personne qui ont eu une belle vie et qui respire le bonheur malgré les années.
encore un bon bivouac dans la foret, une deuxième bonne nuit bien méritée.
Lundi, petite visite tranquille au secteur "Vernet Haut" à la Colmiane
Dont le cheminée est jonché de fraises des bois !
une super aventure encore !! 1100m d'escalade, 30 longueurs (si on compte les longueurs de transition), une escalade vraiment technique par moment. La difficulté c'est aussi de pouvoir évoluer rapidement dans le terrain montagne entre les sommets pour ne pas perdre du temps... Il faut avouer que la récolte du génépi nous a peut être fait perdre un peu de temps dans quelques longueurs ha ha
à la journée faut se motiver mais franchement ça vaut vraiment vraiment le coup !!!
PS : on retournera d'ici la fin de l'été mettre des sangles dans notre voie aux relais pour les rendre plus facile à trouver. D'ici la, le topo suffira bien, il faut repérer le grand dièdre du haut de la face. Dans ces longueurs du haut, les relais et les points sont évidents et se voient bien.
Dans le même principe que la Super Intégrale de Peuterey qui consiste à gravir les voies les plus difficiles sur les sommets de l'arête de Peuterey, on s'était dit qu'on pourrait faire pareil à la Madone avec les 4 sommets qui composent l'intégrale de la Madone.
les 3 premiers sommets c'était assez évident, les voies difficiles seraient :
"le dièdres des parisiens" ou la "Raffaeli" au petit Cayre
"Pilpil" sans hésitation au Grand Cayre
"Vavavoum" ou "inhalassablement" au Barel
Mais le problème était pour le Ponset dont la voie difficile de référence était jusqu'alors la voie de Thibaut, la maintenant classique "Scandale" en face Nord. Sauf que depuis le sommet du Barel, rejoindre la face Nord du Ponset c'est tout sauf facile et évident... ça impose un détour monstrueux et ça casse trop la logique de l'enchainement...
Avec l'ouverture l'été dernier de "Le murmure des nuages" dans la face Ouest du Ponset, ça permet d'arriver directement au pied de la dernière voie depuis la descente du Barel !!
On décide donc de tenter le projet avec Séléna, profitant d'un créneau de beau temps
c'est encore une fois lourdement chargés, avec de l'eau pour 3 jours, que nous rejoignons le pied du petit cayre/ grand cayre pour y faire bivouac. On ne savait pas si c'était possible de le faire à la journée et nous avons préféré monter beaucoup d'eau pour deux jours au moins.
Le choix de notre enchainement se porte donc sur ces voies
- Dièdre des parisiens ED- au petit Cayre, une voie classique qui a représenté un défi de l'alpinisme dans les années 60 et répétée par un acteur clé du massif, Jean Gounant et ses amies biensûr
- Pilpil TD+/ ED- au grand cayre, une voie des années 90 de Pippolini et Garriou et dont l'équipement a été sécurisé par Pierrot Montiglio qui a su conserver le caractère de la voie en évitant qu'elle soit dangereuse
- Inhalassablement TD+ au Cayre Barel par Eric Pasdeloup. Une voie magnifique et très très très bien pensée et équipée. On voit l'implication et le souhait d'offrir un itinéraire de qualité avec un équipement parfait. un petit clin d'oeil à Denali donc pour cet enchainement =)
- Le murmure des nuages TD au Ponset, notre voie avec Séléna qui remonte l'énorme pilier ouest du Ponset à droite de l'arête en passant dans une ligne de faiblesse en dièdre. Pour terminer, cet itinéraire représente la génération moderne de grimpeurs du Mercantour qui retourne vers l'ouverture de voies dans une logique "terrain d'aventure" et en exploitant les lignes de faiblesses.
Depuis l'approche, on peut contempler ces belles montagnes...
On trouve un emplacement de Bivouac un peu sous le GR sur un gros bloc avec un bon plat, finalement c'est pas mal du tout !
Les friends remplacent les piquets ha ha
le lendemain c'est parti ! on attaque de nuit l'évident dièdre des parisiens. Le jour se lève quand nous atteignons le premier relais
Séléna dans la première longueur qui grimpe. L'équipement a été revue dans cette voie et permet une belle escalade en libre dans un esprit "Mercantour" c'est à dire quand même assez aéré sans pour autant être dangereux.
Le refuge se réveille et déjà les voitures affluent en ce samedi de beau temps. Les prétendants au Gélas sont déjà sur le chemin depuis longtemps pour les plus raisonnables.
ça grimpe toujours, le rocher est sublime.
Pour l'instant le ciel est bouché, offrant une ambiance plutôt austère pour un matin froid.
Après quelques verrous de doigts un peu douloureux le crux en 6b+/6c est avalé ! Vraiment très très beau !!
Séléna dans le crux, dur dur avec le sac...
Nous descendons rapidement par la voie normale du Petit Cayre en évitant le rappel ce qui nous fait gagner un temps précieux pour rejoindre la face ouest du grand cayre
j'attaque la délicate première longueur de Pilpil. Le rocher demande de l'attention et l'équipement est plutôt aéré... rien à voir ici avec l'équipement du dièdre des parisiens. Mais pourtant j'ai beaucoup aimé cette voie, autant par le côté recherche d'itinéraire un peu présent que l'escalade délicate qu'elle impose.
Premier 6b, le relais est exposé aux chutes de pierres et il faut être très prudent mais avec un peu de délicatesse il n'y a pas de raison de s'inquiéter ! éléphants s'abstenir tout de même...
Séléna attaque le deuxième 6b qu'on pourrait qualifier de "bloc/ équilibriste". Une longueur courte mais difficile, pieds en adhérence sur des plats et pincent fuyantes pour les mains. le caillou est par contre bien meilleur !
Quelques efforts et ça sort !
Puis encore une longueur en 6a+ qui grimpe !
La petite marche pour le relais qui va peut être finir en bas un jour ! pas d'inquiétude, le relais est bien spité et décalé par rapport à la longueur;
Une dernière longueur facile permet de rejoindre le sommet
Et voila ! 12h50 sommet du grand cayre, on se demande si c'est toujours possible de faire l'enchainement dans la journée, ces deux voies plutôt délicates nous ont pris du temps et il reste la descente du grand Cayre un peu longue... déjà près de 400m de grimpe au compteur
Séléna dans la descente astucieuse vers le couloir entre Barel et grand Cayre.
Le temps de rejoindre la face nord du Barel et de se préparer de nouveau, il est 14h50... je décide de monter au premier relais pour repérer au moins la première longueur si on envisage de la faire de nuit le lendemain... Mais c'est tellement beau et tellement déroulant que, après une courte hésitation, on décide de continuer !! aller encore 700m de grimpe ha ha
ici rien à voir avec les deux premiers sommets, l'escalade déroule, on peut faire un peu de corde tendue et les longueurs passent à grande vitesse ! le temps tout de même de saluer le Dalaï Lama qui nous redonne espoir =)
je porte le sac pour soulager Séléna qui a tout porté au petit et grand Cayre
Le ciel est maintenant bien dégagé et la journée est magnifique.
Notre fatigue disparait peu à peu comme par magie, animés par l'excitation de pouvoir faire l'enchainement dans la journée
Déjà la dernière longueur, 6b, rocher sublime et équipement parfait c'est tellement agréable ! je cours dans la longueur c'est merveilleux d'être ici !
Au sommet, il est 18h20. Il reste tout ça... mais on ne se décourage pas !
Le soleil commence à descendre
On remonte la moitié de la face à corde tendue dans les dalles et gradins faciles pour rejoindre le grand dièdre qui marque le début des difficultés
C'est partie pour la première longueur !
Je me suis rendu compte que les relais sont difficiles à trouver n'étant pas reliés par des sangles, il va falloir qu'on y retourner pour remédier à ça d'ici la fin de l'été...
puis le dièdre cheminée bien old school ! heureusement le surplomb en 6a+ est bien sec cette année et passe bien !
Et enfin la longueur clé avec la dalle technique... il était temps c'est bientôt la nuit...
Sublime couché de soleil sur notre cher massif...
plus qu'un petit surplomb et je suis au relais ! Séléna enchaînera aussi la longueur malgré le sac, bravo après toute cette distance !
Séléna rejoint le pied des deux dernières longueurs de l'arête Ouest dans le crépuscule...
les deux dernières longueurs sont bien équipées et je les connais par coeur, donc pas d'inquiétude malgré la nuit !
Au refuge de la Madone, ils verront nos frontales et hésiterons à appeler les secours (!) mais heureusement Patrick les rassure en voyant qu'on avance vite et qu'on est rapidement au sommet ! Ouf ça nous aurait pas trop fait rigoler de voir débarquer le gros bourdon pour rien !! merci Pat !
22h sommet soit 16h après l'attaque de la première longueur !!!
On souffle enfin et on contemple la plus belle nuit étoilée qu'on ait vu depuis ce magnifique sommet...
La descente, bien que longue, s'effectue sans encombre, dans le vallon jusqu'au chemin, on est tellement contents d'avoir réussi ce coup la qu'on oublie la fatigue et la soif maintenant bien présentes !
Mais malheureusement la journée ne s'arrête pas à la voiture... il faut remonter au bivouac qu'on a laissé la haut après avoir manger un bout et poser le matos... on arrivera dans la tente à 2h du mat soit une journée de 21h...
Le lendemain, on est des gros gros zombies. il nous faudra 2h pour ranger le bivouac et ramper jusqu'à la Madone où on prend un délicieux repas très copieux en compagnie d'un couple de personnes âgées trop sympa. Ce genre de personne qui ont eu une belle vie et qui respire le bonheur malgré les années.
encore un bon bivouac dans la foret, une deuxième bonne nuit bien méritée.
Lundi, petite visite tranquille au secteur "Vernet Haut" à la Colmiane
Dont le cheminée est jonché de fraises des bois !
une super aventure encore !! 1100m d'escalade, 30 longueurs (si on compte les longueurs de transition), une escalade vraiment technique par moment. La difficulté c'est aussi de pouvoir évoluer rapidement dans le terrain montagne entre les sommets pour ne pas perdre du temps... Il faut avouer que la récolte du génépi nous a peut être fait perdre un peu de temps dans quelques longueurs ha ha
à la journée faut se motiver mais franchement ça vaut vraiment vraiment le coup !!!
PS : on retournera d'ici la fin de l'été mettre des sangles dans notre voie aux relais pour les rendre plus facile à trouver. D'ici la, le topo suffira bien, il faut repérer le grand dièdre du haut de la face. Dans ces longueurs du haut, les relais et les points sont évidents et se voient bien.
GaryMountain- Nombre de messages : 184
Localisation : Nice
Points : 388
Date d'inscription : 15/10/2015
Re: Super Intégrale de la Madone !
c'est beau la jeunesse Bravo à vous deux.
jean-phi- Nombre de messages : 2018
Localisation : COURSEGOULES
Points : 4597
Date d'inscription : 11/05/2006
Re: Super Intégrale de la Madone !
putin, JeanPhi, c'est quand qu'on s'y remet, non mais...ils connaissent déjà mieux le massif que nous , çà va pas du tout çà !
_________________
"qui veut gravir une montagne commence par le bas"
leniak- Admin
- Nombre de messages : 1014
Age : 59
Localisation : ici ou ailleurs ....
Points : 1242
Date d'inscription : 24/01/2006
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